Les brocanteurs Sacha et Kim tiennent une boutique unique en son genre, le Beau Débarras, où s'accumulent tous les objets perdus de la ville. Alors que Sacha et Kim préparent l'anniversaire de leur associée et secrétaire la Castafiore, Borrasca Martinez se présente à leur boutique, car la jeune fille, toujours ultra-pressée, a perdu sa flûte à bec et celle-ci est essentielle pour son examen de musique. Le concierge Nijinski suggère d'en acheter une nouvelle, mais ce n'est pas du tout la mission des brocanteurs. Enfin, l'aventure nous conduit dans l'univers des instruments de musique et de la composition de chansons aux côtés de madame Bouche-Cancan et de monsieur Salieri. [SDM].

Les couleurs sont à l’honneur aujourd’hui au Beau Débarras! Tandis qu’on discute des vêtements colorés de Sasha, le jeune Arun vient chercher de l’aide. Son crayon d’un bleu précieux est si usé qu’il en est devenu inutilisable. Toutefois, le coloriage du ciel de son dessin n’est pas terminé et le concours auquel il veut soumettre l’œuvre se termine aujourd’hui. Il faut vite un nouveau crayon de la même teinte! La quête du crayon conduit vers d’heureuses découvertes à propos des couleurs et des artistes, mais aussi des expressions! Le temps est venu d’aiguiser son sens de l’observation, d’être créateur et d’imaginer une solution inattendue au problème d’Arun!

Quelques mois avant la tenue des Jeux olympiques à Montréal, un lanceur de javelot se déguise en père Noël. Il reste coincé dans la cheminée en tentant de s’introduire dans une maison à cambrioler. Ses cris de douleur réveillent le petit Patrice. Créatif et ouvert aux autres, cet enfant adore réaliser des maquettes de bâtiments célèbres. Sa maman transporte même une bouteille de colle dans sa sacoche afin qu’il puisse bricoler en tout temps! L’oreille empathique de Patrice, les yeux de sa maman, le bras d’un lanceur de javelot, bientôt, ils seront tous réunis le temps d’une nuit d’hiver pleine de chagrin et de bienveillance.

Une mystérieuse gardienne de musée qui voudrait tant être heureuse. Un portrait mal aimé qui cache un grand secret. Un petit garçon au foulard rouge qui voit beaucoup plus loin que le bout de son nez... On entre dans ce livre comme dans un musée, transporté par la beauté des ouvres d'art, bouleversé par la pureté de l'enfance qui peut tout changer. À partir de 4 ans

En ces temps de pandémie, notre vie entière est bouleversée, nos repères ne sont plus les mêmes. Les cinq enfants de la famille Riendeau-Regato, comme toutes les familles, doivent aussi composer avec cette nouvelle réalité, qui amène son lot de désagréments. Ce qui leur manque le plus ? Les câlins de leurs grands-parents.

« L'art est partout. Sur les murs, à la bibliothèque, à la télé, à la radio! Nous sommes encerclés par l'art et celui-ci nous permet de ne jamais être seul. Dans cette encyclopédie pour les tout-petits, Simon Boulerice présente les dix arts principaux : l'architecture, la sculpture, les arts visuels, la musique, la littérature, les arts de la scène, le cinéma, les arts médiatiques, la BD et les jeux vidéos et le multimédia. »--

Now that his parents are separated, Ludo has two homes: one in the country with his mom, and the other in the city with his dad. The young boy doesn't like leaving the countryside and his friends to go to his father's apartment in the city, but he does find some entertainment in the flashing traffic lights on the street corner under his window. Ludo convinces himself (with the help of his father) that the lights are controlled by a tiny gentleman who sits inside the signal pole, flipping switches all day and night. Ludo starts sneaking out to leave food for the man, and he soon makes a new friend in the big city. A tender story, complemented by vibrant illustrations, that reminds us empathy and generosity are marvelous tools to overcome one's troubles.

"Depuis toujours, les parents d'Hortense la surprotègent. S'ils le pouvaient, ils l'emballeraient dans du papier bulle, comme un bibelot précieux. C'est qu'Hortense est hémophile, la moindre blessure peut avoir pour elle des conséquences graves. Mais la jeune fille n'entend pas vivre moins intensément pour autant : débordante d'imagination, passionnée d'arts martiaux, elle se promet que d'elle et de la maladie, c'est elle qui aura le dessus. Papier bulle est une histoire profondément émouvante, qui montre qu'on peut tirer une grande force de ce qui, au départ, paraissait être une faiblesse. Une leçon de résilience dont les illustrations, inspirées de l'univers du manga et colorées aux feutres à l'alcool, exploite le principe du bleeding. En effet, au verso de chaque page, on découvrira une version différente du dessin se trouvant au recto, comme un saignement révélant quelque chose d'insoupçonné..."- publisher's description.

Même s’il vit tout près de l’école, Simon prend l’autobus scolaire tous les jours et est déposé le dernier. Le trajet lui permet lui permet d’observer France, la conductrice, et Diane, la brigadière, et d’être le témoin discret des liens qui se tissent entre elles. Mais surtout, le chemin cahoteux est l’occasion de rêvasser à l’envie d’être follement aimé, comme dans les films. Veiller sur les brigadiers scolaires nous invite à voir plus loin que le quotidien, par le grand pare-brise de la vie, de l’imagination et de l’amour.